Bruxelles, le 31 janvier 2014

A nos parties prenantes,

Je suis heureux de confirmer que Reibel S.A. réaffirme son soutien aux dix principes du Pacte Mondial des Nations-Unies touchant les droits de l'homme, les droits du travail, l'environnement et la lutte contre la corruption.

Dans cette communication annuelle sur le progrès, nous décrivons nos actions visant à améliorer continuellement l'intégration du Pacte Mondial et de ses principes dans notre stratégie d'entreprise, notre culture et nos opérations quotidiennes. Nous nous engageons également à partager ces informations avec nos parties prenantes en utilisant nos principaux réseaux de communication.

Giovanni ESPOSITO
CEO

Etablie dans un Etat de droit, la Belgique, où les droits de l'Homme sont respectés par voie législative et exécutive, Reibel n'est que très peu confrontée à cette problématique. Néanmoins, à l'occasion de leurs missions extra-nationales (Afrique, Chine, Russie,...), les représentants de l'entreprise n'ont de cesse d'insister, auprès de leurs partenaires, sur l'application de ces principes, et bien sûr de les appliquer eux-mêmes.

-> En Belgique, la Direction des Ressources Humaines est chargée de veiller à l'application des dispositions légales relatives à la protection des droits de l'Homme; l'entreprise s'efforce toujours d'aller plus loin en cette matière que le prescrit légal (ex. salaires supérieurs aux barèmes pour tous).
La concertation avec les parties prenantes et les parties concernées sur la question des droits de l'Homme est systématique dans tous les pays où nous opérons et où le risque de non-respect existe.

La direction générale examine régulièrement les résultats de notre politique à l'égard du respect des principes des droits de l'Homme; néanmoins, à ce jour, aucun cas de non-respect n'a été relevé chez une partie prenante ou une partie concernée. Si tel devait être le cas, Reibel mettrait dans un premier son partenaire en demeure de corriger le tir et, à défaut, mettrait systématiquement fin à sa collaboration avec ce partenaire.

Etablie dans un Etat de droit, la Belgique, où le droits du travail est respectés par voie législative et exécutive, Reibel n'est que très peu confrontée à cette problématique. Néanmoins, à l'occasion de leurs missions extra-nationales (Afrique, Chine, Russie,...), les représentants de l'entreprise n'ont de cesse d'insister, auprès de leurs partenaires, sur l'application de ces principes, et bien sûr de les appliquer eux-mêmes.

En Belgique, la loi et le règlement de travail, régulièrement adapté, garantissent les droits des travailleurs. Reibel communique régulièrement avec ses employés (par voie de mails et d'affichage) pour les tenir informés de l'évolution de leurs droits.
Les rémunérations sont systématiquement supérieures aux barèmes légaux et, afin de prévenir les discriminations et garantir un salaire égal à travail égal, les employés sont tenus informés du système d'échelle appliqué par l'entreprise.
A l'étranger, nous évaluons systématiquement le niveau de respect de nos possibles partenaires commerciaux et fournisseurs avant de nous engager avec eux.

Reibel compte pratiquement autant de femmes que d'hommes dans son effectif; l'ouverture à la multiculturalité constitue une des quatre valeurs de l'entreprise, comme en témoigne concrètement la variété des origines ethniques (Flandre, Wallonie, Bruxelles, Italie, Hongrie, Turquie, Maroc, Brésil, Somalie... ), et la pyramide des âges s'étalent du minimum (22 ans) au maximum (62 ans), sans la moindre discrimination: pour Reibel, ce qui compte le plus chez un collaborateur, ce sont ses compétences propres et son commitment (autre valeur clé de l'entreprise). Raison pour lesquelles nous nous efforçons en permanence de leur aider à progresser, par le biais de formations internes et externes. En 2013, le nombre d'heures de formations consacrée par l'entreprise à ses collaborateurs a atteint un niveau record.

Le souci de l'environnement, est présent en permanence dans la stratégie, la vision et la vie au quotidien de Reibel: ce n'est pas pour rien si le développement durable constitue la troisième des quatre valeurs de l'entreprise (la deuxième étant la qualité du service). Il est dès lors clair que nous nous appliquons sans même y penser à appliquer les trois principes relatifs à l'environnement édictés par l'UNGC.

Programmes de sensibilisation du personnel à l'utilisation rationnelle de l'eau, de l'électricité, du chauffage, etc; mais aussi au tri des déchets, au recyclage, à l'utilisation raisonnable de véhicules automoteurs, à la consommation de tabac, etc.
Recours permanent à la sensibilisation de nos fournisseurs et de nos parties prenantes, lors de visites à l'entreprise par exemple, à ce que nous accomplissons en faveur de l'environnement.

Un pas en avant en faveur de l'environnement a été franchi par le groupe Reibel en 2013, avec le déménagement d'un immeuble vétuste et mal conçu pour une utilisation rationnelle vers un bâtiment qui se veut un modèle régional en matière d'écologie (chauffage et refroidissement via le pompage de l'eau du canal voisin, électricité grâce à un système photovoltaïque, etc. bref conception pensée pour l'écologie)

Etablie dans un Etat de droit, la Belgique, où la corruption est prohibée par voie législative et exécutive, Reibel n'est que très peu confrontée à cette problématique.
Néanmoins, la direction prend un maximum de mesures pour éviter ce genre d'aléa. A commencer par le fait que l'actionnariat de l'entreprise n'a jamais été ouvert à des autorités politiques ou entreprises plus importantes, qui auraient pu ensuite exercer des pressions sur la direction en vue d'orienter les décisions stratégiques.
A l'occasion de leurs missions extra-nationales (Afrique, Chine, Russie,...), les représentants de l'entreprise n'ont de cesse d'insister, auprès de leurs partenaires, sur le refus catégorique de toute corruption, et bien sûr d'appliquer eux-mêmes ce refus.

N'ayant encore jamais été réellement confrontée à une tentative de corruption agressive, la société, par le biais de ses principaux responsables, a jusqu'ici toujours pu se contenter d'opposer un "niet catégorique" aux timides et rares tentatives d'approche corruptives. Si un cas plus sérieux devait se présenter, il est prévu qu'une politique défensive serait développée au départ de cet exemple.

voir cadre précédent.